Vente le
26 octobre 2012 - 14:30 (CEST) -
Salle 5 - Hôtel Drouot - 75009
Porcelainier, Camille Naudot a su puiser dans la tradition chinoise pour enchanter les années art nouveau. À la recherche de la transparence...
Camille Naudot (1862-1938), coupe sur pied en porcelaine fine, 1902, à décor ajouré de dielytra spectabilis en émaux translucides polychromes, h. 17,5, diam. 14,5 cm. Adjugé 24 784 euros frais compris
Camille Naudot (1862-1938), coupe sur pied en porcelaine fine, 1902, à décor ajouré de dielytra spectabilis en émaux translucides polychromes, h. 17,5, diam. 14,5 cm. Adjugé 24 784 euros frais compris
Moins connu que Fernand Thesmar, avec lequel il a pourtant collaboré, Camille-Victor Naudot se destine très tôt au métier de porcelainier. Il suit des études à l’école de Sèvres, avant de prendre la succession de son père au magasin de porcelaines, en 1889. Pour peu de temps. Ce qui l’intéresse par dessus tout, c’est innover, partir à la quête d’une pâte idéalement fine, à l’instar des pièces chinoises à “décor secret” de la dynastie Ming et de celles dites “grains de…
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