Montignac en mode Gainsbarre

Au travers de ces trois pièces autographes, on retrouve toute la créativité de celui qui était capable d’écrire, le temps d’un trajet entre Londres et Paris, trois chansons pour Brigitte Bardot, mais aussi le fantasque Gainsbarre, notant de manière à peine lisible ses rendez-vous. Datés vers 1988   dans les toutes dernières années de sa vie, donc  , deux feuillets présentent des recherches de rimes en anglais, «I will love you for two/once for me once for you», et en français, «pour rien je donnerai tout/ jusqu’au no man’s land du dégoût», avec quelques notes de musique jetées au centre de la page. Le deuxième porte des notes personnelles comme «voir michelin environs de Paris», «Jacques tel…