Vente le
31 octobre 2020 - 14:00 (CET) -
8, rue Dominique-Larréa, Z.A. Layatz - 64500 Saint-Jean-de-Luz
Bien qu’installé dans la capitale et admiré de tous, le tennisman Jean Borotra n’en oublia pas pour autant ses racines, comme en témoigne ce mobilier.
Benjamin Gomez (1885-1959), architecte-décorateur, Lucien Danglade (1891-1951), sculpteur, et Maumejean Frères, maîtres verriers. Enfilade en chêne ciré et sculpté de forme rectangulaire, lumières à abat-jour en vitrail dit de style américain, ouvrant à trois tiroirs en ceinture dont le central avec devise « Lehen hala raïh la ger es dakit n la», décor sur la porte de droite de la pierre à chocolat, rouleau et kaiku (verseuse), sur la porte de gauche pégara, chistera et espadrilles, 190 x 260 x 48 cm. Estimation : 5 000/8 000 €
Benjamin Gomez (1885-1959), architecte-décorateur, Lucien Danglade (1891-1951), sculpteur, et Maumejean Frères, maîtres verriers. Enfilade en chêne ciré et sculpté de forme rectangulaire, lumières à abat-jour en vitrail dit de style américain, ouvrant à trois tiroirs en ceinture dont le central avec devise « Lehen hala raïh la ger es dakit n la», décor sur la porte de droite de la pierre à chocolat, rouleau et kaiku (verseuse), sur la porte de gauche pégara, chistera et espadrilles, 190 x 260 x 48 cm. Estimation : 5 000/8 000 €
Diplômé de Polytechnique, Jean Borotra entame après la guerre une double carrière de sportif et de cadre dirigeant dans l’industrie. S’il n’a commencé le tennis qu’à l’âge de 14 ans, sa carrière a été fulgurante, avec dès 1924 une finale remportée à Wimbledon. Suivront jusqu’en 1935…
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