Vente le
28 mai 2019 - 14:00 (CEST) -
Hôtel Alliance, couvent des Minimes, 17, quai de Wault - 59800 Lille
La dispersion d’une bibliothèque composée d’ouvrages, majoritairement du XXesiècle, mettait en lumière des textes de Lautréamont, Éluard, Artaud, Char et des illustrations de Dalí ou Miró…
Isidore Ducasse, dit comte de Lautréamont (1846-1870), Les Chants de Maldoror, eaux-fortes de Salvador Dalí, Albert Skira, 1934, in-folio, reliure de Paul Bonet, 1963. Adjugé : 55 200 €
Isidore Ducasse, dit comte de Lautréamont (1846-1870), Les Chants de Maldoror, eaux-fortes de Salvador Dalí, Albert Skira, 1934, in-folio, reliure de Paul Bonet, 1963. Adjugé : 55 200 €
De cet ensemble très cohérent ressortait, avec 55 200 €, un livre illustré qui fait autorité parmi les spécialistes du surréalisme. Il s’agit des mystérieux Chants de Maldoror , écrit par Isidore Ducasse, comte de Lautréamont, dans la somptueuse édition d’Albert Skira de 1934 (voir l'article L’illustration surréaliste à son apogée de la Gazette n° 20, page 138). L’un de ses attraits, et non le moindre, est d’avoir été illustré par Salvador Dalí de quarante-deux eaux-fortes originales, auxquelles s’ajoutent deux éléments exceptionnels : la suite à part de ces eaux-fortes avec remarques, et huit dessins originaux du maître,…
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