"L'Ange du mauvais goût", tel que le surnommaient ses détracteurs, rejoint l'écurie de Hervé Loevenbruck. Le galeriste de la rue Jacques Callot compte relancer le marché du peintre français (1898-1993), oublié des radars depuis la fin des années 1980, comme il a pu le faire pour l'oeuvre d'Alina Szapocznikow.