La face cachée d’un grand architecte, Roger Taillibert
Publié le
,
par
Claire Papon et Anne Foster
Vente le
16 juin 2017 - 14:00 (CEST) -
Salle 1-7 - Hôtel Drouot - 75009
On lui doit le Parc des Princes à cheval sur le périphérique parisien et, à Montréal, le fameux stade olympique surplombé par un gigantesque mât de 182 mètres, soit la plus haute tour inclinée du monde. Qui dit mieux ? Vous l’aurez compris, Roger Taillibert est un homme de caractère. Dans l’ouvrage consacré à son œuvre...
Roger Taillibert sur le chantier du Parc des Princes, vers 1970.
Roger Taillibert sur le chantier du Parc des Princes, vers 1970.
On lui doit le Parc des Princes à cheval sur le périphérique parisien et, à Montréal, le fameux stade olympique surplombé par un gigantesque mât de 182 mètres, soit la plus haute tour inclinée du monde. Qui dit mieux ? Vous l’aurez compris, Roger Taillibert est un homme de caractère. Dans l’ouvrage consacré à son œuvre d’architecte, édité par Somogy, Claude Parent en dresse d’ailleurs un saisissant portrait : «Un masque de condottiere flanqué d’un nez agressif ; un regard farouche sous le sourcil en bataille ; une parole ardente à la Savonarole ; une chevelure de savant fou que j’ai toujours connue blanche.» L’architecte s’est imposé en 1966 en réussissant à faire ériger la piscine de Deauville selon la technique révolutionnaire des…
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