Épanouie, elle possède une sacrée chute de reins dont elle n’est pas peu fière.
Ce vêtement d’hier est, par sa découpe, l’un des plus féminins qui aient su s’adapter aux silhouettes créées par la mode. Vers la fin du règne de Napoléon III, la crinoline cède la place à la «tournure», dont l’armature projetée à l’arrière donne un «pouf» des plus spectaculaires. À mi-chemin entre le manteau et la cape,…
com.dsi.gazette.Article : 31542
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