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BRAFA in the Galleries, une alternative bien venue

Publié le , par Stéphanie Perris

Dans un climat pour le moins incertain, la BRAFA signe une 66e édition réussie. Pas de formule miracle à la clé pour la foire bruxelloise mais une bonne dose de professionnalisme et de pragmatisme. Décryptage.

Brafa in the Galleries, Brun Fine Art. Courtesy BRAFA  BRAFA in the Galleries, une alternative bien venue
Brafa in the Galleries, Brun Fine Art.
Courtesy BRAFA
Ils sont scrutés avec attention et ces derniers temps bien souvent avec appréhension  : les bilans et rapports des grands rendez-vous du monde de l’art. Mais que peuvent-ils nous dire  ? Entre annulations en série, reports ou propositions peu convaincantes, les foires ont-elles encore une raison d’exister  ? Depuis presque un an, crise sanitaire oblige, elles tentent en effet de se maintenir, notamment par le biais du online. Dans ce climat que beaucoup qualifient d’anxiogène, la Brafa clôture pourtant une 66 e édition désignée, non sans un certain plaisir, comme rafraîchissante et optimiste. La célèbre foire de fine art , souvent comparée à la Tefaf, mais en version mini, supplante ici cette rivale dont les viewing rooms n’avaient pas vraiment été couronnées de succès en fin d’année dernière. Venant de Marseille ou d’Amsterdam, d’Ostende ou de Paris, de New York ou de Nagoya et bien sûr de Bruxelles, où se déroule habituellement la foire, les 129 galeries participantes ont ainsi accueilli pendant cinq…
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