siècle. Cette pierre, «yu» en chinois, est sculptée depuis le Néolithique. Utilisée pour des pendentifs funéraires ou des insignes du pouvoir puis, avec le temps, pour des créations plus populaires et naturalistes, elle est recherchée pour sa pureté et ses vertus médicinales ou magiques. Cette coupe en jade blanc repose sur trois pieds à décor ajouré de lotus et de caractères «fuchu» ; son piètement est rapporté. Datant de la période Qianlong, d’un diamètre de 14,9 cm, elle pourrait partir à 10 000/12 000 € à Arcachon le samedi 18 mai, chez Toledano société de ventes aux enchères OVV (cabinet Ansas & Papillon).