C’est à une sculpture «plus vraie, plus ressentie» qu’aspirait l’Anglais Anthony Caro, disparu en 2013 à 89 ans. À preuve, la douzaine de pièces uniques, montées entre 1973 et 2011 – en bronze, en laiton, en aluminium, la plupart en acier –, marquant sa huitième exposition chez Templon, son marchand depuis 2005. Il a fallu...
C’est à une sculpture «plus vraie, plus ressentie» qu’aspirait l’Anglais Anthony Caro, disparu en 2013 à 89 ans. À preuve, la douzaine de pièces uniques, montées entre 1973 et 2011 – en bronze, en laiton, en aluminium, la plupart en acier –, marquant sa huitième exposition chez Templon , son marchand depuis 2005. Il a fallu le concours…
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