Vente le
19 décembre 2021 - 10:00 (CET) -
20, rue Jean-Jaurès - 06400 Cannes
L’Éternel Printemps demeure l’une des œuvres les plus appréciées d’Auguste Rodin. Cet exemplaire de la seconde version, fondu du vivant de l’artiste, devrait à nouveau le confirmer.
Auguste Rodin (1840-1917), L’Éternel Printemps, 1884, épreuve en bronze à patine brune sur un contresocle en marbre portant une plaque gravée «L’Éternel Printemps Auguste Rodin 1840-1917», Barbedienne fondeur, signé sur la terrasse, 25 x 31,3 x 18,5 cm (sans la terrasse). Estimation : 220 000/280 000 €
Auguste Rodin (1840-1917), L’Éternel Printemps, 1884, épreuve en bronze à patine brune sur un contresocle en marbre portant une plaque gravée «L’Éternel Printemps Auguste Rodin 1840-1917», Barbedienne fondeur, signé sur la terrasse, 25 x 31,3 x 18,5 cm (sans la terrasse). Estimation : 220 000/280 000 €
Suite au contrat signé par Auguste Rodin le 6 juillet 1898 avec le nouveau dirigeant de l’entreprise, Gustave Leblanc-Barbedienne (neveu de Ferdinand), soixante-trois exemplaires furent fondus, entre 1898 et 1917 par la maison Barbedienne, de la seconde version du groupe de L’Éternel…
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