Après une première participation à la Tefaf Maastricht, le duo de galeristes spécialisées dans les peintres japonais d’après-guerre sera au rendez-vous du Salon du dessin, à Paris.
Ce qui a déclenché votre vocation ? A.L. Ma découverte du marché de l’art s’est faite à Drouot, à l’âge de 17 ans. Ce fut une révélation et l’envie dévorante de tout connaître et tout voir. R.S. Une attirance…
com.dsi.gazette.Article : 49542
Cet article est réservé aux abonnés
Il vous reste 85% à lire.