À l’automne, le chef de La Grenouillère quittait son Pas-de-Calais natal pour prendre les commandes du premier «Dîner de la création» organisé par le Palais de Tokyo, confirmant ainsi ses affinités avec l’art.
Êtes-vous plutôt peinture, objet, photo… ? Difficile de choisir. J’apprécie l’abstraction lyrique, la figuration libre, et des artistes polymorphes comme Jacques Germain. Je suis particulièrement sensible…
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