Georges Jouve (1910-1964)

Épurée et sculpturale, la céramique noire à l’éclat satiné de Georges Jouve est dans l’air du temps, enchères à l’appui.

Le céramiste Georges Jouve concevait certaines de ses céramiques comme des sculptures évoluant librement dans l’espace. Et c’est toujours ce qui plaît !

Le céramiste phare des années 1950 livrait l’une de ses épures, bien loin du monde foisonnant de l’ex-graffeur connu pour ses clins d’œil artistiques.

Lorsque Georges Jouve se lance dans le mobilier, cela donne des tables basses aux couleurs des arts du feu !

Deux jours de ventes se partageaient entre arts décoratifs du XXe siècle, emmenés par un objet culte du céramiste français, et des tableaux plus sensibles.

Les arts décoratifs du XXe siècle totalisaient 902 434 €, avec en points d’orgue Jouve, Dupré-Lafon et Poillerat.

Un ensemble d’une quinzaine de pièces de Georges Jouve sera prochainement dispersé à Bayeux. Souvenirs d’une amitié véritable et d’une époque bénie des arts du feu.

Le céramiste phare de l’après-guerre livrait l’une de ses créations facétieuses à Béziers, le mardi 5 décembre, sous le marteau des Enchères du Midi OVV. Il s’agit de la lampe Bacchus, soit une céramique émaillée simulant le personnage mythologique assis...

Ce pied de lampe sculptural en faïence émaillée est signé du céramiste Georges Jouve.

Céramiste inventif, Georges Jouve (1910-1964) a longtemps balancé entre figuration et abstraction, tout en conservant un certain goût des courbes, dont témoigne ce rare miroir Soleil aux rayons ondulants (diam. 53,5 cm). Il brillera entre 40 000 et 60 000...