Vente aux enchères de Arts décoratifs du XXe - Paris

Après un lever de rideau composé de verreries de Daum et Gallé, place au mobilier des années 1900-1920, anonyme pour l'essentiel. Un bar (vers 1900) en pin verni et plateau en étain poli orné de grappes de raisin (qu'accompagnent trois tabourets) est annoncé à 1 000/1 500 €, un guéridon moderniste de Jacques Adnet en bois verni et plateaux de verre nécessitera 300/500 €, tandis qu'un important bureau (avec retour) moderniste des années 1930 en placage de noyer verni et métal chromé pourrait trouver preneur à 5 000/7 000 €. Il faudra s'engager à 800/1 000 € pour une commode en bois gainée de cuir noir attribuée à Jacques Adnet mais pousser jusqu'à 8 000/12 000 € successivement pour s'offrir trois lampadaires dits Élysée en aluminium laqué brun et blanc de Pierre Paulin. Quelques grands classiques les accompagnent de Charles et Ray Eames notamment, ainsi que de Marc Held comme cet exemplaire du fauteuil "Culbuto "(et son ottoman) à coque de fibre de verre et tissu orange (4 000/5 000 €). La dernière partie d'après-midi, soit une petite centaine de lots, constitue quelques-uns des souvenirs d'Yves Saint Laurent et Pierre Bergé. Suspensions, paires de clés, boîtes, meubles, objets asiatiques, bijoux marocains… devraient se négocier entre 150 et 2 500 €. Voire plus bien sûr… Articles après-vente
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