FLAUBERT Gustave. Lettre autographe signée à Paul Meurice. S.l.n.d., jeudi 3 h ; 1 p. in-8 sur papier vergé bleu. Obligé de se « clore » pour pouvoir travailler, il a peur que son portier n’ouvre pas et il demande qu’on le prévienne par un mot la veille d’une visite. « Faite[s]-moi le plaisir de présenter mes excuses à Victor Hugo. J’ai l’air de l’oublier. Je ne vais pas le voir et j’en suis désolé. Un de ces jours je réparerai mes torts – involontaires ».
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