L.A.S., Giverny 10 mars 1891, à Gustave GEFFROY; 1 page et demie in-8 à l'encre violette, enveloppe.
Il lui confirme sa venue à la Justice jeudi. «Mais je voudrais bien que vous puissiez parler avant cela à CLEMENCEAU pour l'affaire de mon fils, il n'est que temps d'agir. Et parlez dans le sens que je vous ai dit.
L'enfant, comme dit Clemenceau se trouve très bien de sa nouvelle situation chez mon frère qui souhaite bien pouvoir le garder avec lui. Dites bien, vous, à Clemenceau de faire tout son possible pour cela»... [Il s'agit de son fils aîné Jean (1867-1914), qui travaillait comme chimiste chez son oncle Léon Monet à Maromme.]
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