NU FEMININ SE COIFFANT, VERS 1935
Plâtre patiné
Signé (sur la terrasse à l’arrière à droite)
110 x 51 x 28 cm
Ce nu puissant et racé, au geste à la fois naturel et sophistiqué, n’a semble-t-il jamais été fondu en bronze. Il apparaît dans un fusain sur papier de l’artiste, conservé au musée du Prieuré de Saint-Germain-en-Laye (PMD 984-17.2). Dans cette feuille, il devient une cariatide soutenant un élément architectural. Le Nu féminin se coiffant forme sûrement un pendant avec le Jeune éphèbe (cat. n°21). Enfin, en 2011, il est reproduit dans un feuillet édité par le musée Rolin d’Autun et présenté comme une Ève datant de 1960.
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