BUGATTI TYPE 46 COUPÉ DE VILLE
Numéro de série 46065
À remettre en route
Cette voiture est une réalisation unique, construite par un passionné de
Bugatti, sans soucis de coût ni de temps passé.
La découverte :
L’histoire débute au milieu des années soixante-dix, elle est racontée
pour la première fois par le journaliste Jacques Reydellet dans « La Vie
de l’Auto » du 15 décembre 1981 :
Il indique que la découverte de pièces d’un châssis de type 46 dans la
région toulousaine, fut à l’origine du projet. Le moteur fut procuré par le
spécialiste Bugatti Henri Novo. L’histoire raconte que celui-ci le découvrit
dans les Vosges, et provenait d’un véhicule détruit.
Le collectionneur Philippe Salvan de Toulouse confirme avoir vendu à J-P
Varin, aux environs de 1975, un lot de pièces de type 46 qui comprenait :
Un train avant, un ensemble boite-pont, des traverses de châssis d’origine
exceptée la traverse arrière, des roues fils et des pièces mécaniques
diverses. Selon les souvenirs de ce dernier, le pont et l’essieu avant
pourraient provenir d’une voiture cassée à Saint Gaudens. Salvan procura
également le châssis qui avait été réalisé par une grosse entreprise de
chaudronnerie industrielle de la région de Toulouse.
Un rêve royal :
Jean Pierre Varin et son ami Gabriel Lebret rêvaient alors de reconstruire
un type 46, dite « Petite Royale » tout en souhaitant lui donner l’apparence
d’une des Royales type 41. Leur choix va se porter naturellement sur la
plus prestigieuse et la plus belle, le coupé « Napoléon » carrossé par
l’atelier de l’usine sous la direction de Jean Bugatti fin octobre 1932.
La réalisation :
Le moteur une fois démonté, s’avérait être en bon état.
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