Compositeur. L.A.S. à son cher Ferrand. Paris, 4 décembre 1829. 2 pp. bi-feuillet petit in-4, adresse au verso, marque postale.
Rare lettre de jeunesse après l'un de ses tout premiers concerts publics. Berlioz s'inquiète des nouvelles de son ami, Humbert Ferrand, qui s'est installé à Belley. Je ne reçois point de réponse à deux lettres, et à l'envoi des journaux relatifs à mon concert. Vous êtes malade, c'est sûr; n'auriez-vous point moyen de me faire donner de vos nouvelles et de me tirer de l'inquiétude mortelle où je suis depuis si longtemps ?... Une lettre d'Auguste à Gounet ne disait rien de bon sur votre santé (...).
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