Lettre autographe signée à un confrère auquel il reproche de pasticher Verlaine.
9 janv(ier). 1 p. in-8.
Oui, mon cher confrère, j'aime Verlaine. Aimer n'est même pas assez dire [...] J'ai lu vos vers. Et encore oui je les montrerai à Ponchon. Pour sûr, d'ailleurs, ainsi que moi, il trouvera qu'ils sentent trop Verlaine, justement [...] On en dirait un pastiche [...] Verlaine n'a pas à être refait. Il est, & fait tout à fait. Donc... ! Vous m'allez juger brutal. Tant pis ! [...] Cordialement à vous quand même.
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