Vincent d’INDY. L.A.S., Lundi matin [1906], à Mme de Valbray ; 2 pages in-8, enveloppe (deuil).
Il n’a pu s’informer encore de la fortune de M. de C., mais « la famille est sûrement excellente et très bien parée dans son pays, quoique ne faisant aucune esbrouffe, mais ce sont des gens très aimés et respectés de tous. [...] j’ai été confirmé dans mon opinion, sur la vie des deux frères, qui ont, tous les deux, m’a-t’on assuré, une conduite exemplaire, quant à la maison de la rue d’Assas, elle est des plus honorables de toutes façons et renferme encore 2 par 2 des religieux expulsés. Plus j’y pense, […] plus je crois que R. de C. [René de Castéra ?] fera un excellent mari, car c’est un garçon au sens absolument droit et loyal... ce qui n’est plus très commun parmi les jeunes »... On joint des coupures de presse.
Nous utilisons des cookies pour vous offrir une meilleure expérience de navigation, réaliser des analyses de trafic du site et de vous proposer des contenus et des annonces les plus adaptés à vos centres d’intérêts.