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Lot n° 43

Pierre TAL-COAT (1905-1985)

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Accroché 1971 Huile sur toile monogrammée en bas à droite 133 x 198 cm Oil on canvas monogrammed lower right 52 3/8 x 78 In. > Galerie Fanny Lafaille, Paris > Collection privée, Paris > Tal Coat Peintures, Catalogue de l’exposition à la galerie Maeght, Zürich, 1974, planche 7, reproduit en couleurs > Tal Coat Peintures, Catalogue de l’exposition à la galerie Maeght, Zürich, 1974, planche 7, reproduit en couleurs > Peintures Galerie Clivages, Paris 1984 > Tal Coat Peintures, Maeght, Zürich, 1974 (étiquette au dos portant le n°115) Un certificat d'authenticité de Pierrette Tal-Coat en date du 18 septembre 1990 sera remis à l'acquéreur Droit de suite à la charge de l’acheteur Une peinture matérialiste   Dans les années 1970, Tal-Coat cherche à donner à ses couleurs la « consistance de la terre labourée ».   À la mort de sa femme au début de l’année 1970, Tal-Coat entre dans ce que l’historien de l’art Florian Rodari appelle ses « années d’errance ». En toute logique, son mode de vie et son œuvre en sont profondément affectés puisque l’artiste, jusque-là relativement sédentaire, amorce une vie de voyages. Parmi les destinations régulières : la Corse, les Alpilles et bien sûr la Suisse où il parvient à trouver le repos, loin de ses « démons familiers ».   Lui qui, depuis de si nombreuses années, cherche à interroger le réel par l’intuition voit de plus en plus d’amateurs – helvètes en particulier – réagir positivement à ses partis-pris plastiques. L’enthousiasme et la multiplication des projets aidant, ses séjours à Saint-Prex, dans le canton de Vaud, se font alors plus réguliers. En cette même année 1971, Tal-Coat rejoint la commission des arts plastiques pour la Villa Médicis aux côtés de César et Balthus. Trois ans plus tard, la Galerie Maeght de Zürich lui consacre une exposition personnelle où a

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