« Portrait de Madame FRANCKHAUSER, née Paulette BORÉE », vers 1951. Huile sur toile. Signée en haut à droite. 35 x 24 cm. Comme son père Gainsbourg se passionne très tôt pour la musique et la peinture. Il suit les cours de Camoin et de Jean Puy à l'académie de Montmartre, puis ceux d'André Lhote et de Fernand Léger, et s'inscrit aux Beaux-arts, ainsi qu'à l'Ecole Normale de Musique. En 1951, il joue du piano d'ambiance au casino d'Argelès-Gazost où il rencontre les deux filles d'un propriétaire de café, dont il fait les portraits. Dans les années 1950, il délaisse la peinture pour se consacrer à ses compositions musicales, et détruira toutes ses oeuvres, sauf celles qui avaient été offertes, environ 5 ou 6, parmis lesquelles notre tableau. Il s'agit du portrait de Mlle B. Il est reproduit et cité dans le livre monumental « GAINSBOURG » de Gilles Verlant édité chez Albin Michel, consacré à Serge Gainsbourg (voir page 28) dans différentes revues comme ELLE, du mars 1991, GLOBE et reportages télévisés sur Gainsbourg ainsi que dans l'ouvrage de Franck MAUBERT « Voyeur de Première », page 18. L'artiste a signé son tableau de son patronyme : GINSBURG avec un "S" à la place du "Z" d'origine.
Nous utilisons des cookies pour vous offrir une meilleure expérience de navigation, réaliser des analyses de trafic du site et de vous proposer des contenus et des annonces les plus adaptés à vos centres d’intérêts.