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Lot n° 27

Jules PASCIN (1885-1930)

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* LES PROVINCIALES, 1913 Huile sur toile Cachet de l'atelier de l'artiste en bas à droite Cachet de la succession au dos Annotée, titrée et datée au dos 46 x 38 cm - 18.1 x 15 in. Stamped with the artist's studio lower right, inscribed, titled and dated on the back, oil on canvas Provenance: -Vente, Sotheby's Londres, 1972 n°62 -Vente Sotheby's, New York, 1974 n°67. Acquise au cours de celle-ci par le propriétaire actuel Bibliographie: -Abel Rambert, Gerard H.Rambert, Pascin, Catalogue raisonné, Peintures, aquarelles, pastels, dessins, Tome II, Editions Abel Rambert, Paris, 1984. Reproduit sous le numéro 263 en page 78 de l'ouvrage «Pascin venait de très très loin: peut-être de Roumanie où habitaient ses parents, peutêtre de Bulgarie où il était né; mais en réalité de bien plus loin encore: du pays des fables et des prophètes. ... Son univers, c'est un corps de femme. Dans une femme, il retrouve les flamboiements de la nature, les nacres des nuages matinaux, les lacs irisés, la floraison des vergers, le ruissellement des prés en fleurs. Le corps de la femme est pour lui la forme standard de la beauté universelle. ... Pascin n'est pas de notre temps, heureusement, il est de toujours. Il est l'homme qui aime le soleil et la chair. Il est notre Rubens et notre Boucher. Il est certainement, depuis la mort de Renoir, le plus français des peintres contemporains et un digne héritier du dix-huitième». Yvan Goll. Pascin, 1929

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