Poétesse.
L.A.S., [Lyon septembre 1829 ?], à Mme FIRMIN, à Lyon; 1 page in-8, adresse.
Elle regrette de n'avoir pas revu et embrassé Mme Firmin.
«Je retrouverai dans l'avenir ce qui vient de m'échapper par une foule de petits détails trop longs à dire, j'en suis toute attristée, car j'apprécie Monsieur et Madame Firmin, à qui j'offre aussi vivement mon amitié, qu'ils ont eu la bonté de me prouver la leur»...
En post-scriptum: «Êtes-vous heureux! Vous allez voir BÉRANGER et libre!»...
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