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Lot n° 40

André MASSON

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«TRISTESSE D'UNE JOURNEE DE PRINTEMPS», 1955 Sable et pigments sur toile, signée en haut à droite, datée et titrée deux fois au dos et sur le châssis 100 x 81 cm Provenance: - Galerie Louise Leiris, Paris - Galerie de Seine, Paris - Collection Serge Varène, Paris Expositions: - «Peintures récentes et anciennes d'André Masson», Galerie Louise Leiris, Paris, 1957, reproduit en noir et blanc, porte le numéro 46 de l'exposition - «XXIX Biennale Internazionale d'Arte», Venise, 1958 - Akademie derKünste, Berlin - Stedelijk Museum, Amsterdam, 1964 - «Rétrospective Masson», Musée d'Art Moderne, Paris, 1965 - «André Masson: 1922-1966», Musée de Lyon, Lyon, 1967, porte le numéro 38 de l'exposition - «Surrealität - Bildrealität», Stadtische Kunsthaus, Dusseldorf, 1974-1975, porte le numero 202 de l'exposition - Edward Totah Gallery, Londres, 1988, Bibliographie: - «André Masson et les puissances du signe», Roger Passeron, éditions Denoël, 1975, reproduit en couleurs page 31 - «Sémiographie d'André Masson», Roland Barthes, 1976, reproduit Cette oeuvre est enregistrée dans les Archives du Comité André Masson Les premiers tableaux de sable d'André Masson, de l'automne 1926, manifestent un désir d'expression immédiate, non prémédité, apparu avec les «dessins automatiques», quelques années plus tôt. Ils constituent historiquement la première forme de réponse à l'appel à un art de l'«automatisme psychique», lancé par André Breton en 1924 dans le Manifeste du surréalisme. (Max Ernst, un an plus tard, avec ses «frottages», relèvera, lui aussi, ce «défi» de l'automatisme.) «Je refaisais à ma manière le mur exemplaire de Léonard, avec cette différence considérable que ce mur ne m'était pas donné, mais qu'il était le premier mouvement d'une intuition où j'allais bientôt trouver ce qui était mien», déclare l'artiste à propos de ses tableaux de sable

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