Notre-Dame du Maghreb, 1952. Grés émaillé, signé sur la base et cachet du céramiste sous le fond. Haut.: 48 cm - Larg.: 12 cm - Prof.: 13 cm Notre sculpture est une variante de celle réalisée pour la Cathédrale de Casablanca en 1952. L?artiste représente une Madone à la poésie toute méditative et d?une grande noblesse, élégamment drapée de bleu. Elle tient son enfant aux bras écartés, idée empruntée à son amie Elisabeth Branly. Notre-Dame du Maghreb résume assez bien l?oeuvre d?Anna Quinquaud, qui explora l?Afrique et collabora avec les plus grands céramistes. Grand prix de Rome en 1924, elle renonce à la Villa Médicis et part en Afrique occidentale (Sénégal, Soudan français, Mauritanie), puis en Somalie, à Madagascar et aux Antilles, et sculpte avec une dignité silencieuse les peuples qu?elle découvre. L?originalité de son regard intéresse la Manufacture de Sévres et la Grande Maison HB à Quimper qui l?éditent avec un grand succés. Sans le savoir, nous la connaissons au travers de ses sculptures réalisées pour la commande publique comme les bas-reliefs qui ornent le Musée d?Art Moderne de la Ville de Paris et de ses nombreuses oeuvres au caractére unique et à la gràce touchante conservées dans les musées. Nous remercions madame Anne Doridou-Heim d?avoir bien voulu nous confirmer l?authenticité de l?oeuvre et renvoyons à son bel ouvrage «Anna QUINQUAUD exploratrice sculptrice», Éditions d?art SOMOGY 2011. Anna QUINQUAUD (Paris, 1890 - Fontenay-Trésigny, 1984) sculptor and Victor CANALE (1883 - 1959) ceramist. Notre Dame of Maghreb, 1952. Enamelled stoneware. Signed on base and ceramist stamp on bottom
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