L.A.S., 1833-1834, à M. Boutron; 1 et 3 pages in-8, adresses. 18 mai 1833. Il dîne avec son vieil ami qu'il avait dû laisser la veille «pour aller à Versailles juger des progrès de ma nouvelle habitation que je dois à vos bontés». Il rejoindra Boutron aux Français... La Bastide 19 juin 1834. «Nous sommes à la Bastide sous notre brillant soleil de Provence mais comme j'aime beaucoup mon nid il me fait du bien et ma santé y a gagné beaucoup», comme celle de «notre excellente Nena»... «Je presse mes traveaux ici»; il espère avoir fini à la fin du mois pour pouvoir retourner à son poste et retrouver ses amis de Paris, «et ceux de la Porte Saint Denis me fairont grand bien à retrouver après avoir perdu mes soeurs et ma paroisse»... Il n'a pas eu le temps de peindre: «Cependant j'ai trouvé quelques heures pour terminer des grands ciprès que j'ai dans mon tableau du cloitre des chartreux de Rome que j'emporterai avec moi pour pouvoir le terminer à Versailles, et si vous le trouvé digne detre exposé à la prochaine exposition alors je le montrerai au public mais auparavant au Roi, pour quil ne marive pas comme à celui de la mort du Poussin. Enfin une fois rendu à Paris, je m'occuperai de cet ouvrage avec soin et zele [...] Nous vivons ici comme des chartreux, point de journeaux, point de nouvelles, [...] toutes nos pensées sont pour la prospérité de nos champs, de reécoltes, et de nos amis»
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