Adolphe, anecdote trouvée dans les papiers d'un inconnu. Londres, Paris, Colburn & Tröttel et Wurtz, 1816. In-12 de VII, 228 pp., (1) f. de catalogue de l'éditeur : veau fauve, dos à nerfs orné de filets et fleurons dorés, nerfs décorés à froid, double filet doré et roulette à froid encadrant les plats, coupes et bordure intérieure décorées, tranches dorées (Ducastin). véritable édi ti onori gi nale, imprimée et édi tée à londres. " Un des chefs-d'oeuvre du roman psychologique en France, adolphe est l'analyse aiguë du mal dont Benjamin Constant était atteint et qu'il définissait l'inquiétude perpétuelle de l'amour et l'impuissance d'aimer. Son orageuse liaison avec Mme de Staël lui fournit le fond de cette histoire. Son génie de moraliste et de psychologue fit le reste " (Bibliothèque nationale, Le Romantisme, n° 48). exemplaire excepti onnel en pleine reliure décorée de l'époque signée de ducastin, parfaitement conservée. On trouve relié à la fin un feuillet publicitaire de l'éditeur Colburn signalé pour la première fois par Fernand Vandérem en 1927 d'après cet exemplaire. Provenance : Fernand Vandérem, avec ex-libris (cat. I, 1939, n° 280 : " Rarissime en reliure d'époque signée, tranches dorées "), et Zafiropulo (cat. II, 1994, n° 65). (En français dans le texte, n° 225 : " La première édition (...) est rarissime (trois exemplaires dans des bibliothèques publiques : la British Library, Harvard et la Taylorian Institution à Oxford). La Bibliothèque nationale ne la possède pas ".- Courtney, A Bibliography of editions of the writings of Benjamin Constant to 1833, n° 18a).
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