L.A.S., Paris 21 septembre; 1 page in-8. «Je vous remercie et de votre portrait qui est très ressemblant, et de la galanterie de vos vers dont vous embellissez votre présent. Ils sont trop flateurs pour moi, mais je sens le prix de votre estime et de votre amitié. Mon patriotisme se trouve loué par un patriote qui s'est distingué par ses sacrifices [...]. Je n'ai point aspiré aux honneurs du burin; c'est M. Cochin qui m'a persuadé de lui laisser copier mon visage; mon apologie est foible; mais j'ai eu un séducteur. Je voudrois pouvoir vous envoier des vers en échange; mais en ce moment mon Apollon est sourd»
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