L.A.S., H. H. [Hauteville House, Guernesey] 20 mai [1866], à Jules
Bondon à Montmartre ; 1 page in-8°, adresse (encadrée).
Il le remercie de son livre [Les Fleurs, fabliaux et poésies], qui lui « appartient doublement, je le lis comme le public, comme un passant qui cueille une fleur, et j'en respire le parfum, ce parfum qui est à tout le monde ; et puis j'en tire un autre charme ; grâce à ce doux et mélodieux envoi à Victor Hugo qui le termine, je lis votre livre en égoïste et comme s'il était à moi tout seul »...
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