PRINCE IMPÉRIAL (LOUIS-NAPOLEON BONAPARTE, DIT LE).
2 brouillons autographes signés « Louis-Napoléon » de lettres à un journal. S.l., [milieu des années 1860].
– « Monsieur, les sentiments que vous m’avez atribué dans votre derdnière livréson sont feaux. VOUS ME FETES JOUER UN ROLE D’I[G]NOREND ET DE PEUREUX, CE QUI, JE CROIS, N’EST PAS DANS MA NATURE. J’espère porté bien le nom que Dieu m’a donné. Recevez, Mosieur, mes salutasions... » (une p. in-4).
– « Monsieur, je me crois un droit, après que vous avez pris la liberté d’imprimer ma lettre dans votre jourdal, de retirer mon abonemant. J’ai crut, quand le petit Fleuri [son ami Maurice Fleury, fils du général et diplomate Émile-Félix Fleury, écuyer et proche de Napoléon III] m’a dit qu’il s’été aboné à votre journal, que je pousvais resevoir vos livrésons, mais je me suis trompé. Mes jeus aussi sons plus viriles que vous ne le dites : il y a même quelques-euns de mes amis qui l’ons peure, antr’otre les Fleuris, surtout l’éné. Je regrette d’être obligé de vous dire les chauses à deus foix... » (une p. in-4).
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