Baigneuse dans la palmeraie Huile sur toile, signée en bas à gauche. 71 x 59 cm « Elle s'appelait Nakhla, son sourire était doux comme l'aurore et dans Bou-Saâda on enviait celui qui posséderait cette rose parfumée. Dans les vers qu'ils chantaient en son honneur, les poètes disaient Ô Nakhla, ta beauté resplendit comme le soleil ! Retire-toi car deux soleils dessècheraient le monde ». Le Printemps des coeurs (Rabia El Kouloub) Slimane Ben Ibrahim et E. DINET, Paris, 1902
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