GABRIELLE VINCENT
ERNEST ET CÉLESTINE
Ernest est malade, Éditions Duculot 1987
Aux fourneaux, illustration originale. Aquarelle sur papier
24,1 × 18,5 cm (9,49 × 7,28 in.)
Tout semble encore sous contrôle ; contrairement à l'habitude, le sol n'est pas jonché d'objets insolites ; la chaise et le tabouret sont sur leurs quatre pieds, et la vaisselle bien installée sur un plateau. L'oeil est très attiré par le blanc de la porte à l'arrière-plan, comme l'ouverture vers la suite de l'histoire et l'attente de ce qui va se passer après. De même que d'ordinaire les chaises sont rarement debout, les portes sont plutôt ouvertes en général chez Ernest et Célestine ; ouverture de l'inclusion, de l'échange, de l'improvisation. Ici, si la porte est fermée, c'est qu'il faut préserver Ernest, bien malade au fond de son lit.
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