Louise-Élisabeth VIGÉE-LEBRUN (1756-1842). 3 L.A.S. à la comtesse d’Arjuzon ; 4 pages in-12 ou in-16, 2 sur papier vert, adresses.
Elle regrette vivement de ne pas avoir pu la recevoir « lorsque vous avez eu la bonté de passer chez moi, mais j’étais tellement souffrante que je ne pouvais recevoir que mon médecin ». Elle va mieux, mais pas encore assez bien pour sortir… – « Oui bien certainement […] je serais heureuse de vous recevoir ce soir », avec M. d’Argenson, car il y a trop longtemps qu’elle n’a eu ce bonheur… Mardi. C’est avec regret qu’elle se voit contrainte de remettre sa petite soirée prévue cette semaine, car elle souffre de douleurs « par ce vilain tems ! »...
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