littérateur, et sénateur du Cantal. MANUSCRIT autographe signé, Dans l’Université. Payons ce qu’il faut ; 10 pages et demie in-4 avec ratures et corrections.
Intéressant article sur l’Université, toujours actuel.
Lintilhac dénonce le « péril universitaire », dont les causes sont : insuffisance croissante des traitements, l’émigration des maîtres vers l’industrie, les difficultés de recrutement… Il faut payer, puis réformer après. Et il conclut : « Tant vaudront les maîtres, tant vaudront les réformes ultérieures. Mais d’abord payons-les ce qu’ils valent. […] Gare à l’éducation nationale au rabais, sinon à sa grève perlée ».
Nous utilisons des cookies pour vous offrir une meilleure expérience de navigation, réaliser des analyses de trafic du site et de vous proposer des contenus et des annonces les plus adaptés à vos centres d’intérêts.