Camille SAINT-SAËNS. L.A.S., 18 novembre 1902, à une chanteuse [Félia Litvinne ?] ; 3 pages in-8.
Au sujet de la reprise de Déjanire à Béziers. Il n’envisage pas les représentations sans elle : « Ne soyez pas trop exigeante, ne rendez pas les choses impossibles. S’il fallait vous payer ce que vous voulez, on n’y arriverait jamais. Quant à me mêler de négociations, jamais de la vie ! mais vous vous méprenez sur les intentions de Castelbon ; lui, Madame Dieulafoy, tous vous désirent comme moi […] Quelle belle Déjanire vous nous ferez ! »
On joint 2 L.A.S. par Benjamin Godard (1891) et Jules Massenet.
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