Lombardischer Maler aus dem Leonardo-Schülerkreis... Lot n° 322

Marie-Madeleine Huile sur bois. 70 x 50,5 cm. Cadre de style Renaissance. Le peintre Salai mentionné ici était dans le cercle très proche de Léonard de Vinci. Seules quelques peintures sont assurées d'être de sa main, ce qui rend les attributions difficiles ou presque impossibles. Son style de peinture s'inspire généralement de celui de Léonard, comme c'est le cas pour de nombreux autres peintres de cette époque. Salai, fils du vigneron des domaines de Léonard, serait venu dans son atelier dès l'âge de 10 ans, surtout pour sa belle apparence et ses boucles. Il a ainsi rapidement posé pour plusieurs œuvres de Léonard. Salai accompagnait le maître dans ses voyages et la rumeur veut qu'il ait eu des relations plus étroites que celles d'un simple élève. Vasari, le célèbre biographe d'artistes de la Renaissance, mentionnait déjà la thèse selon laquelle le nom "Mona Lisa" était une anagramme de "Mon Salai" de Léonard. Le tableau présente, comme de nombreux peintres lombards du cercle autour et après Léonard, les caractéristiques stylistiques correspondantes de ce dernier. La sainte est représentée de trois quarts, debout vers la droite à une table de rocher, les bras croisés sur la poitrine, tandis que ses longs cheveux bouclés couvrent le reste de sa nudité. Le regard est dirigé vers le haut, mais - comme dans les œuvres de Léonard - de manière ambiguë. Sur la pierre, le vase à onguent en argent gris. L'accentuation frappante de la chevelure bouclée peut justement être considérée comme un indice du lien avec la propre apparence de Salai. A.R. (13307033) (11) École de Lombardie, du cercle des élèves de Léonard de Salaì, également connu sous le nom de "Gian Giacomo Caprotti", env. 1480 Milan - 1524 SAINTE MARIE MAGDALENE Huile sur panneau. 70 x 50.5 cm. Salaì faisait partie du cercle le plus proche de Léonard de Vinci. Comme seulement quelques-unes de ses peintures sont assurées d'être de sa main, il est difficile ou presque impossible de faire des attributions. Son style de peinture se rapproche généralement de celui de Léonard, comme c'est le cas pour de nombreux autres peintres de cette époque. Salaì, le fils du vigneron de la propriété de Léonard, est dit être venu à l'atelier de Léonard à l'âge de dix ans, principalement en raison de son beau regard et de ses boucles. Il est rapidement devenu le modèle de plusieurs œuvres de Léonard. Salaì accompagnait le maître dans ses voyages et on pensait qu'il avait une relation plus étroite que celle d'un simple apprenti. Vasari, le célèbre biographe d'artistes de la Renaissance, avait déjà suggéré que le nom de Mona Lisa était une anagramme de "Mon Salaì" de Léonard. Comme beaucoup de peintres lombards dans le cercle autour et après Léonard, cette peinture présente également des caractéristiques stylistiques correspondantes. La sainte est représentée en portrait de trois quarts de longueur, debout à droite sur une table en pierre, les bras croisés devant sa poitrine, tandis que ses longs cheveux bouclés couvrent le reste de sa nudité. Son regard est dirigé vers le haut, mais - comme dans les œuvres de Léonard - d'une manière ambiguë. Son pot de senteur gris-argenté est posé sur une pierre. L'accent marqué sur les magnifiques boucles peut indiquer le lien avec la propre apparence de Salaì.