Eugène CHEVREUL (1786-1889). L.A.S., Paris, 212 mars 1871, à son « honoré confrère » [Ludovic Vitet] ; 2 pages in-12.
Après le siège de Paris, et la publication de ses Distractions, il en envoie un complément qui « renferme le résumé de mes travaux sur la raison de la nécessité d’un aliment complexe pour la diète de l’homme et des animaux supérieurs » ; puis il aborde « la question du matérialisme et du spiritualisme eu égard aux sciences physico-chimiques. Enfin les distractions sont terminées par quelques fait et anecdotes du Siège de Paris ». Il fait ensuite l’éloge de M. Aveline qui rédige les procès-verbaux des séances du Comité consultatif des Arts et Manufactures qu’il préside ; le comité « recruté dans l’académie des sciences, le conseil d’état, les corps des ponts et chaussées et les mines, et enfin la haute industrie et le haut commerce, donne lieu à la discussion exemplaire d’éléments si variés, qu’il faut à mon sens une aptitude d’esprit administratif bien distingué pour résumer la discussion »…
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