* Jules MICHELET (1798-1874). L.A.S., 22 avril 1859, [à Paul MEURICE] ; 3 pages in-8.
Au sujet du drame de Meurice, Le Maître d’école (créé à l’Ambigu-comique le 10 mars, avec Frédérick LEMAÎTRE)… « La scène du maire et du mariage est la plus pathétique, je crois, qu’on ait vue jamais. […] La critique n’y a rien compris, quoi que vous l’ayez dit expressément. Ce n’est pas une pièce contre le mariage – c’est un faux mariage – et, d’autre part, un homme d’admirables cœur, lié dans sa faute, et qui ne peut s’en tirer. Imprimez, l’on comprendra mieux. Il y a quelques choses obscures, qui viennent certainement des coupures horribles que vous avez subies ». Puis il évoque l’acteur « immortel […] qui a emporté les cœurs »…
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