Maurice ESTÈVE (1904-2001), peintre et graveur de la nouvelle Ecole de Paris. 3 L.A.S. « M. » à sa mère (une incomplète). Culan, 18-31 juillet [vers 1970]. 3 pp. in-8 et in-12.
« [] Je prends mille précautions pour être debout en ce jour de vernissage. C'est pourquoi je ne sors pas, voulant éviter à tout prix une crise de coryza qui m'empêcherait d'être présent à la galerie ce jour-là, ce qui serait une grande déception pour de nombreuses personnes et des amis qui viendront de loin, y compris de l'étranger pour me voir ce jour là []. Je n'ai pas besoin de te dire que cette exposition (je veux parler de ses préparatifs) m'ont donné quelques tracas, sans compter les lettres nombreuses que j'ai dû écrire à l'occasion de l'envoi de la carte d'invitation (que tu connais) []. » « Un tout petit mot, maman, t'annonçant simplement mon arrivée à Culan. (Le voyage s'est bien passé malgré la cohue des départs de fin juillet). Je t'écrirai sans tarder. Mais ne m'oublies pas non plus ! Je t'embrasse beaucoup []. »
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