ÉCRIVAINS ET HOMME DE LETTRES. 7 documents.
COPPÉE... Lot 42
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ÉCRIVAINS ET HOMME DE LETTRES. 7 documents.
COPPÉE (François) Poème autographe (s.l.n.d.) 1 p. in-8 oblong, déchirures. Beau poème « L'hiver, au coin du feu, j'ai pensé bien des fois - A la mort d'un oiseau, quelque part, dans les bois. () Oh ! Comme les oiseaux doivent mourir, l'hiver ! - Pourtant quand reviendra le temps des violettes Nous ne trouverons pas leurs délicats squelettes () Est-ce que les oiseaux se cachent pour mourir ? » ; DORGELES (Roland) 2 Lettres autographes signées, (s.l.n.d.) 4 pp. in folio. L'une à en-tête du 22, rue de Pétrograd. VIIIe, où il adresse ses remerciements à Albert Dubeux pour sa critique dans la Revue Mondiale : « se sentir compris, se savoir aimé, un écrivain ne sait rien souhaiter d'autre », l'autre au même Dubeux, devait accompagner une photographie, Dorgelès termine en précisant : « comme autographe, j'ai recopié la première phrase des Croix de bois » ; FARGUE (Léon-Paul) Brouillon pour Le cauchemar au vernissage. 2 pp. in folio, numérotées 2 et 3 : « Il faut s'additionner. Se serrer les uns contre les autres, comme les moutons quand ils sentent l'odeur du loup », il poursuit : « Tout le monde était à son poste de T.S.F dans toutes les maisons () quand il y passa de violents parasites qui firent vaciller les appareils () C'étaient les ondes de la pensée » ; FAURE (Gabriel) Lettre autographe signée, Paris, 6 janvier 1917. 1 p. in 8. Il envoie un livre à un critique : « J'espère () que vous pourrez en dire quelques mots aux lecteurs des Débats » ; FIGUIER (Louis) Lettre autographe signée, Paris, 1869. 1 p. in-8. Il autorise « la traduction des passages concernant la Télégraphie dans mon ouvrage Merveille de la science, pour paraître dans le Bulletin télégraphique » ; GEFFROY (Gustave) Lettre autographe signée, Paris, 9 janvier 1928. 2 pp. in-12. Il remercie un confrère pour son article dans l'Ermitage : « croyez bien que à travers la besogne forcée du journalisme je n'ai pas toujours pensé qu'à notre moment. Mais je vous assure que ce moment est beau et qu'il aura place dans l'histoire » ; GERANDO (Joseph-Marie de) 2 Lettres autographes signées, Paris, 9 juin 1832. 1 p. in folio. Adresse, plis d'envoi. Il remercie Geoffroy St Hilaire pour le discours qu'il a prononcé à la mémoire de l'anatomiste Georges Cuvier (mort le 13 mai 1832) et lui demande d'annoncer dans les journaux qu'il souhaite lancer une souscription au musée d'histoire naturelle : « nous pourrions bientôt nous entendre pour former une commission qui préparerait le corps ». La seconde, à Paris, le 23 janvier 1839. 1 p. in folio. Adresse, plis d'envoi. Il prie Geoffroy de St Hilaire de l'avertir de la date de cérémonie d'inauguration de la statue de Georges Cuvier : « elle n'est point encore placée, elle a été seulement entreposée, pour laisser libre l'atelier de Mr David ».
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