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Lot n° 1171

A MONUMENTAL ICON SHOWING ST. JOHN THE FORERUNNER...

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* UNE ICÔNE MONUMENTALE REPRÉSENTANT ST. JOHN THE FORERUNNER IN THE DESERT Russe, Moscou, Cercle de la Chambre d'armurerie, vers 1700 Tempera sur panneau de bois. Finement exécutée avec des détails dorés. Écrit en lettres rouges en slavon d'église, le titre de l'icône se lit comme suit : Saint Jean le Précurseur. Saint Jean est représenté comme "l'ange du désert". Il est debout dans un paysage rocheux sur un fond bleu. Il est représenté en vue de trois quarts, tourné vers la gauche, et il concentre son regard sur le spectateur. Sa main droite tient un parchemin ouvert : Et moi, j'ai vu, et j'atteste que celui-ci est le Fils de Dieu" (Jean 1,34) et "Voici l'Agneau de Dieu, qui enlève les péchés du monde" (Jean 1,29). En tant qu'hérémite, il porte un vêtement rêche en poil de chameau sous un manteau vert doublé de rose qui tombe librement. Jean montre de son index droit l'Enfant Jésus, qu'il tient dans son autre main dans un asteriskos. Cette représentation est connue sous le nom de melismos (division en grec) et elle symbolise le sacrifice eucharistique que le Christ apportera. Pendant la célébration de la liturgie, le pain repose dans le calice, symbole du corps du Christ. L'icône est finement peinte avec des couleurs profondes et discrètes, soulignées par des coups de pinceau linéaires dorés et blancs. Le style occidental de la peinture, avec les plis souples du manteau et la représentation relativement naturaliste du visage, suggère des influences de l'atelier du tsar au Kremlin, par exemple Simon Ushakov et Kirill Ulyanov, qui se sont spécialisés dans une manière plus naturaliste de peindre. La grande taille de l'icône proposée suggère qu'elle était très probablement exposée sur le niveau Deisis d'une iconostase dans une grande église. Provenance : Lempertz, Cologne, mai 1969 ; De Wijenburgh, Pays-Bas ; Collection privée néerlandaise. Christi darstellt. Die schweren Gewandfalten und die fein ausgeführte Malerei der Published : R. Roozemond (Hrsg.) : Eikon. Beauté divine, Echteld 1981, 48-49. Ausstellungskatalog : Het Goddelijke Nabij : Oude Ikonen uit Particulier Bezit, Bijbels Museum Amsterdam, Zwolle 2000, Kat. 48. die ganzfigurige Darstellung des heiligen Johannes in Dreiviertelansicht legen nahe, dass Literature : I. Bentchev : Engelikonen. Machtvolle Bilder himmlischer Boten, München 1999, 187-191. Ausstellungskatalog : Ikonen und ostkirchliches Kultgerät aus rheinischem Privatbesitz, Köln 1990, Kat. 139. MONUMENTALE IKONE MIT JOHANNES PRODROMOS IN DER WÜSTE Russland, Umkreis der Moskauer Kreml-Werkstätte, um 1700 Verbund aus vier Laubholz-Brettern mit zwei Rückseiten-Sponki. Eitempera auf Kreidegrund. Nimbus und Krone vergoldet. 178 x 90 cm. Sehr fein, in reichen Farbnuancen schattiertes Inkarnat. Am oberen Rand kirchenslawischer Titulus in Rot. Der Titulus der Ikone lautet 'Der heilige Johannes der Vorläufer'. Au-dessus de son bras d'appui en bois de cerisier, il porte un chapeau gris avec un ventre rouge. La végétation luxuriante de l'arrière-pays lui confère le statut de "Johannes du vassal - un ange dans l'eau". Am linken Bildrand erscheint eine an die Wurzel eines Baumes gelehnte Axt, die Bezug nimmt auf Mt 3,10 : 'Schon ist die Axt den Bäumen an die Wurzel gelegt. Ein Baum, der keine guten Früchte trägt, wird abgehauen und ins Feuer geworfen'. Le schéma général, que Johannes présente au lecteur dans sa main droite éhobée, reprend les textes bibliques Jn 1,34 et Jn 1,29, dans lesquels il est écrit : "Und ich sah es und zeugte, daß dieser ist Gottes Sohn" et "Siehe, das ist Gottes Lamm, welches der Welt Sünde trägt". C'est ainsi que la Croix du Christ et la solution du problème ont été analysées. Cette iconographie a été réalisée pour la première fois par la Moskauer Schule au 17e siècle. Jahrhunderts bildlich umgesetzt. Dans sa main gauche, il a placé un disque doré avec un Christ noir, sur lequel il a posé son doigt droit. Cette représentation du Christ en tant qu'inflamme de Dieu vient de la langue grecque et s'appelle "melismis" ou "melizein", ce qui signifie que l'hostie est versée dans l'eau et que c'est à elle que revient l'Eucharistie du Christ. L'élégance des vêtements et la légèreté de la décoration de l'hôpital témoignent de l'influence de la décoration occidentale, qui était typique de l'Ikonenmaler Simon Ushakow et de son fils Kirill Ulianow. La taille de l'icône et la représentation graphique de l'apôtre Johannes dans la vue en plongée montrent que l'icône était un élément de la déesse dans l'icône d'une grande église orthodoxe. Min. Restaurations entlang der vertikalen Brettfugen. Littérature : R. Roozemond (Hrsg.) : Eikon. Beauté divine, Echteld 1981, 48-49. Ausstellungskatalog : Het Goddelijke Nabij : Oude Ikonen uit Particulier Bezit, Bijbels Museum Amsterdam, Zwolle 2000, Kat. 48. Provenienz : Lempertz, Köln, Mai 1969 ; De Wijenburgh, Niederlande ; Niederländische Privatsammlung. Veuillez noter : ce lot a été importé de l'extérieur de l'UE pour être vendu aux enchères sous le régime de l'admission temporaire. Lorsque Hargesheimer libère ce bien pour les acheteurs de l'UE, l'acheteur deviendra

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