DEUX CAVALIERS DES CONFINS ORIENTAUX DE L'EMPIRE RUSSE Aquarelle sur traits de crayon noir 21,50 x 28 cm (8,39 x 10,92 in.) Elève de Jean-Pierre Norblin de La Gourdaine, peintre français établi à Varsovie, Orlowsky part s'installer à Saint-Pétersbourg en 1818, où il restera jusqu'à sa mort. Il devient ainsi un peintre très apprécié en Russie, autant pour ses scènes de genre, que pour ses personnages et motifs orientaux, ses marines et ses scènes de bataille. Notre aquarelle, présentant deux cavaliers orientaux, est à rapprocher de deux peintures conservées au musée Narodowe à Varsovie ; on retrouve en effet la même composition et quasiment les même chevaux dans Deux officiers à cheval (voir Aleksander Orlowski, catalogue de l'exposition en 1957 au musée Narodowe ; M. Suchodolska et E. Arcakina ; ill. 69 cat. 640). Le Cavalier persan (Jezdziec perski), est quant à lui affublé d'un chapeau, d'une canne et d'une épée très proches de celles de nos cavaliers (cf. supra, ill. 28, cat. 391)
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