Henri Beyle, dit STENDHAL (1783-1842). 2 P.A.S. " H. Beyle ", Paris 1817-1828 ; 1 page in-8 d'un feuillet double, titre sur la p. 4 avec sceau de cire rouge à son chiffre HB ; et 1 page in-4 ; montées sur onglets en un volume rel. plein maroquin vert à grain long, titre en lettres dorées dans un cadre de filets dorés et à froid sur le plat sup., dentelle int., chemise et étui (René Aussourd).
Précieuse réunion de deux testaments de Stendhal. [Les spécialistes de Stendhal en ont dénombré trente-sept.]
28 mai 1817, en faveur de sa sœur Pauline. " Testament de Henri Beyle né à Grenoble le 23 janvier 1783. - Je donne tout ce dont je puis disposer et tout ce que j'aurai au jour de mon décès, à madame Pauline veuve Périer, je la prie de payer à Mr Louis Crozet ingénieur un legs de trois mille francs, je donne à M. Louis Crozet tous mes manuscrits et tout ce que M. Didot a imprimé pour moi. Ma sœur Pauline donnera des livres à mes amis "... Son ami Louis de Barral a signé comme témoin.
* 4 septembre 1828, en faveur de son cousin Romain Colomb. " Testament de H. Beyle. Je donne et lègue ce qui peut m'être dû au jour de mon décès savoir 1° par M. Fuzier négt à St Ondras près La Tour du Pin Isère sur une pension viagère de 1600 par an. 2° par le payeur de la Guerre de Paris pour une 1/2 solde ou réforme de 450 f. par an - à M. R. Colomb mon cousin rue Godot de Mauroy n° 39 "... Stendhal a ajouté en bas : " Je dois à M. Léger rue Vivienne qqs cent francs " [probablement le tailleur de ce nom, au 21 de la rue Vivienne]...
Ex-libris Bibliothèque du Docteur Lucien-Graux.
Correspondance générale, t. III, nos 1087 et 1489.
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