L.A.S., Paris 2 mars 1837, [à Mme Jacques REISET] ; 1 page et demie in-4°. « Il est difficile, Madame, de distinguer entre les compliments ordinaires et les sentiments dictés par la sincérité du coeur : ceux que vous voulez bien m'exprimer avec tant de grâce sont de la dernière espèce et j'en suis touché plus que je ne puis vous le dire. Je devrois pourtant [...] me plaindre un peu de cette gloire éternelle que vous m'attribuez. Mais comme vous y enveloppez le souvenir de Madame votre fille, je n'ai pas le courage de repousser une louange non méritée »...
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