Lettre autographe signée. Paris, 30 septembre 1863 ; 1 page in-8°. L'affaire des chemins de fer est énorme, au point de vue où je me place. Pour compléter son dossier, j'ai besoin : 1° de la lettre de M. Thirria. Cette lettre prouve, ce me semble, non [...] la supercherie, mais le faux bruit répandu. Si la preuve directe du faux bruit n'en résulte pas, quel moyen avons-nous de prouver que le mensonge est l'oeuvre de l'administration ? 2° Les preuves, s'il y en a des possibles, de l'arrivée des employés de chemin de fer à Rioz : lettres, attestations, etc. [...]. De quoi réfuter la dépêche de M. Rouher, c-à-dire : l'indication précise des conseils généraux qui ont émis des voeux : - de la loi qui a décidé, dites-vous, de la direction du chemin ; - de propositions de la compagnie. On joint une lettre autographe signée du ministre de l'Intérieur Casimir-Périer.
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