Il ne parlera jamais, 1986 Acrylique sur toile sablée signée au dos, datée et titrée 161 x 129 cm Reproduit p. 256 de l'ouvrage de Gérard Schlosser par Alain Vouffrey Schlosser aime à rendre, le plus illusoirement possible la souplesse des herbes sèches courbées sous les ondes du vent, le duveteux de l'écume au faîte des vagues, son "rendu" est de l'ordre du sensuel et non du constat froid. La peinture de Gérard Schlosser est une peinture de l'instant, voire même de l'instantané si l'on tient compte de l'assistance photographique qu'il utilise, dont les titres mêmes renforcent d'abord le côté anecdotique et futile.
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