L.S., Paris 5 janvier 1774, [à Louis-Bernard GUYTON DE MORVEAU]; 2 pages in-4 (portrait gravé joint).
Sur l'impression de son Histoire naturelle des oiseaux.
Il n'a pu encore voir le Chancelier pour l'affaire de Guyton dont il s'occupera.
«L'imprimerie Royalle va si lentement qu'il reste encore quinze feuilles a imprimer de mon volume en sorte que je ne suis pas sur de pouvoir donner mon livre avant mon retour a Montbard, ce qui me fache asses.
Ma sante n'est pas aussi bonne ici qu'en
Bourgogne, car a Montbard et surtout a Dijon quand j'etois aupres de vous je me portois beaucoup mieux en depit du proces et malgre la trop bonne chere. Vos expériences sur la purification de l'air me paroissent extremêment importantes et vous ne sauries trop, Monsieur, les publier, ce seroit un crime de leze humanite que de les laisser ignorer; vous pouries même par l'autorite que vous aves a Dijon engager la police a faire un reglement a cet egard. J'ai rencontre Mme de St Fargeau et je lui ai dit que vous m'avies charge de lui chercher des petites pompes hollandoises [...]. A l'egard de l'oiseau dechire de Mme Hebert il est arrive un petit malheur; c'est que je l'ai laissé à Montbard et que je n'en ai pas réténu le numero. Je scai seulement que c'est un oiseau de proie mais il sera aise a Mme Hébert de reconnoitre quel est le numero de la planche qui manque à sa collection»...
We use cookies to provide you with a better browsing experience, perform site traffic analysis, and deliver content and advertisements most relevant to your interests.
Cookie management:
By allowing these cookies, you agree to the deposit, reading and use of tracking technologies necessary for their proper functioning. Read more about our privacy policy.